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Il y a un sujet qu’on ne croise pas si souvent dans la foule d’articles et de textes se consacrant aux images de ma période (La Renaissance, mais peut-être qu’il faudrait dire la fin du Moyen Âge, en oubliant pas de spécifier que le moyen-age c’était un âge de ténèbres où les gens mangeaient leur vomi; et n’oubliez pas de l’écrire avec des tirets, sans majuscule, pour bien fâcher les vrais médiévistes qui sont juste jaloux parce que nous on a la perspective), un sujet disait-je, plutôt rare et un peu glissant: les plantes, les fleurs et la verdure en générale.
Cette pudeur on peut l’expliquer de plein de manières, déjà c’est pas facile d’identifier les plantes, j’ai la chance de me faire aider régulièrement par Jean-Pierre Grienay du Jardin Botanique de Lyon, mais sans ça je ne m’aventurerais pas sur ce terrain glissant. En plus, comme pour tout le reste, les artistes semblent souvent faire leurs tambouilles et à nous de jongler entre le symbolique, le naturalisme quasi scientifique, la signature, le décoratif ou le nébuleux. Ce n’est pas pour rien que Daniel Arasse conseillait à ses étudiants de lire l’interprétation des Rêves de Freud. Les œuvres apparaissent comme des rêves cryptés où un clitoris peut finalement devenir une luge tandis que du maïs en boite viendra incarner la souffrance et les chagrins. Même si parfois, comme le disait le maître Freud (quand ça l’arrangeait) un cigare n’est qu’un cigare.
Les plantes donc, j’en ai plein, merci Jean-Pierre, on trouvera sur la musée,
aconit napel (Aconitum napellus subsp. napellus), ail d’alun, ail des Ours (Allium ursinum), alchemille (Alchemilla), ancolie (Aquilegia vulgaris), anémone (Anemone L.), arbouse (Arbutus unedo), arum d’italie (Arum italicum), aspérule odorante (Galium odoratum (L.)), astrantia (Astrantia), aubépine (Cratægus ), benoite (Geum) bleuet (Cyanus segetum), bouillon blanc (Verbascum thapsus), bourrache (Borago officinalis L.), camomille, campanulle gantelée (Campanula trachelium), caprier (Capparis spinosa L.), catananche (Catananche caerulea L.), centaurée (Centaurea), chardon (Carduus), chataïgnier (Castanea), chélidoine (Chelidonium majus), chêne, chou, chrysanthème des moissons (Glebionis segetum), citron (mais en fait c’est des cédrats à l’époque), citronnier (Citrus), claudinette (Leucojum vernum), clématite sauvage (Clematis vitalba), coing, Cognassier (Cydonia oblonga), colza (Brassica napus L.), concombre (Cucumis sativus), consoude (Symphytum), coquelicot (Papaver rhoeas)
ça par exemple, et que faire de tout cela alors? Prenons le champ du symbolique (fort bien cultivé).
On peut lire par-ci par-là un exemple assez convaincant. Autrefois (quand les gens mangeaient leur vomi, là ) les artistes, c’étaient pas vraiment des artistes et tout était symbolique dans leurs images, parfois au détriment de la crédibilité. Genre pour bien signifier qu’on parle du maitre des horloges on met une super horloge à côté de sa Pléiade avec le papier tout fin. Ou pour dire que la Vierge souffre on va planter une épée dedans dans toutes les images. On ne pourra pas nier une certaine efficacité, voire un potentiel surréaliste que les fameux surréalistes n’ont pas manqué de relever, mais à l’époque de Raison et de clarté qui nous occupe (où les gens mangeait des oiseaux) les peintres auraient subtilement remplacé le détail bizarre (épée plantée dans le cou de la dame) par un détail signifiant, mais plus crédible aussi (une fleur en forme d’épée, eh ouais). Ce serait donc la raison de la présence des Iris en peinture (et on cherche encore les fleurs en formes de Pléiades pour le prochain portrait présidentiel).
C’est une belle idée, assez convaincante, et il nous reste plus qu’à l’appliquer aux
cresson (Nasturtium officinale), crucifère (Brassicaceae), cyclamen (Cyclamen L.), cyprès (Cupressus), dame d’onze heures (Ornithogalum umbellatum), datte, dattier, digitale (Digitalis), dragonnier, églantier (Rosa canina), épervières (Hieracium), épicea (Picea abies (L.), érable (Acer), érigeron, félicie (Felicia amelloides), fenouil (Foeniculum vulgare), fétus de paille, feuille de chêne, figue, figuier (Ficus carica L.), Fleur de la passion (Passiflora), fleur de sureau (Sambucus), fougère (Asplenium), fragon (Ruscus aculeatus), fraise, fraisier (Fragaria), fruit pourri, fruits, fumeterre (Fumaria), gaillet gratteron (Galium aparine L.), genévrier (Juniperus), Géranium Herbe à Robert (Geranium robertianum), giroflée (Erysimum cheiri)
présents sur le site. En attendant, c’est sûr qu’on va trouver parmi les 40 iris indexés de nombreux associés à la vierge souffrante, genre dans les adieux du Christ à sa maman ou encore mieux dans les crucifixions. Et là patatras (si vous me permettez l’expression). Déjà qu’il n’y avait pas de cheval sur le chemin de Damas, voilà maintenant qu’il n’y a pas d’iris dans les crucifixions. Non contente de s’être modifié, le symbole semble avoir migré dans les vierge à l’enfant où la fleur est proéminente, un des nombreux signes prémonitoires inquiétants qui hantent ces images. D’ailleurs je peux même regarder sur la page du site consacrée aux crucifixions (comme c’est bien fait) la plante la plus présente sur ce thème: dans mes 43 crucifixions, loin derrière mes quatorze personnes qui regardent le ciel et mes trente-et-un os on trouvera trois misérables fraisiers, plantains et pâquerettes. Et sans être méchant avec le fraisier, le plantain ou la pâquerette, il faut reconnaitre qu’il s’agit de plantes omniprésentes en peinture, on en a croisé tellement que Jean-Pierre refuse quasiment de les identifier à ce stade.Tous les artistes devaient en avoir des modèles dans leurs cahiers de dessin, c’est aussi attendu que le mot “cyclopéen” dans un texte de Lovecraft. Jugez plutôt j’ai 56 fraisiers, 55 plantains, 44 pâquerettes; pas loin de mes 49 violettes et approchant mes 34 pissenlits. Alors qu’il y en a des biens plus rares par exemple savez-vous dans quelle peinture on croisera:
giroselle (Primula meadia), glaïeuls (Gladiolus), grenadier (Punica granatum), groseille, hêtre (Fagus sylvatica), hysope (Hyssopus officinalis), indigo (Indigofera tinctoria), jasmin (Jasminum polyanthum), jusquiame noire (Hyoscyamus niger), laiteron (Sonchus), laurier, Leontopodium, lierre, liseron (Convolvulaceae), lotier (Lotus corniculatus L.), luzule (Luzula), lychnide (Lychnis), lys (Lilium), lys bleu, lys rouge, marguerite (Leucanthemum vulgare), marronier (Aesculus hippocastanum), mauve (Malva sylvestris), mélèze (Larix), melon, molène (Verbascum), morelle noire (Solanum nigrum), moutarde (Mutarda arvensis), mouron rouge (Lysimachia arvensis), muguet (Convallaria majalis), mure, myosotis (Myosotis sylvatica), myrte (Myrtaceae), narcisse (Narcissus), navet, néflier (Mespilus germanica L.)
Hein ?
Alors peut-être qu’une piste serait de penser à rebours. De se demander dans quel cas les artistes ne mettaient justement pas de fraisier. Réfléchir un peu à l’envers. Il semble que l’idée de la crucifixion sur une terre rocailleuse, asséchée, surnage. Parfois aussi l’histoire se conjugue au singulier. Les artistes tentent des trucs, proposent des associations qui seront reprises, ou pas, par leurs collègues. Ainsi cette hypothèse fine qui voudrait que la molène chez Altdorfer vienne prendre la place d’une coquetterie iconologique rare: le Jean-Baptiste à la lanterne. Cette image du précurseur viendrait d’un passage de l’Évangile de Jean "Jean [Baptiste] était la lampe qui brûle et qui luit". La formule "Lucerna mundi" se retrouve même dans l'agneau Mystique. Le motif existe de façon marginale, mais amène Eric Marshall White à penser que la présence imposante de molènes (Verbasum Thapsus) dans la décollation de Jean-Baptiste gravée par Altdorfer comme dans son étonnant Jean-Baptiste et Jean à Patmos (on les voit rarement copains, ces deux-là ) serait de ce fait. Il explique que si la molène bénéficie d’un beau curriculum vitae dans le soin (elle soignerait la goutte, Pline l’Ancien la recommande pour les piqûres de scorpion, Hildegarde de Bingen pour les maladies respiratoires et elle fut même rapprochée du Moly, cette plante qui permit à Ulysse de défaire le sortilège de Circé, autant de faits qui pourraient coller avec Jean-Baptiste qui soigne et protège, notamment contre la laryngite et le mal de gorge) on sait surtout que le 24 juin, la fête à JB, on brûlait de la molène pour chasser les mauvais esprits (mince, c’est en même temps que la fête païenne de Midsommar). Parce que la molène, ça fait de super mèches à flambeaux, même Pline l’Ancien le dit. Encore une fois, si on adhère à cette hypothèse, on ne trouvera pas forcément d’autres molènes accolées à Jean-Baptiste dans ma collection (je n’en ai qu’une quinzaine, désolé ma bonne dame). L’idée d’Altdorfer n’a apparemment pas pris, mais on peut quand même regarder les molènes d’un autre œil sachant ça.
Pire, certains artistes utilisent les plantes comme de simples signatures ou clins d’œil envers leurs prédécesseurs, sur ce sujet le bien nommé “Maître à l’œillet” (c’est un collectif) est exemplaire et on pourra lire avec intérêt l’article d’Artifex In Opere sur le chardon chez Dürer.
Enfin, surtout, nos diables d’artistes sortent dehors, observent le monde et parfois les plantes. J’en veux pour exemple le Saint-François de Bellini qui a passionné Jean-Pierre (et puisqu’on distribue les bon points Hugo van Der Goes est très bon en la matière aussi et les peintres qui inventent des plantes: on vous a grillés, à moins que parmi les fantômes qui hantent les toiles se trouvent aussi des espèces disparues ?!). Déjà , comme chez Van Eyck, ce sont des œuvres où Jean-Pierre devine en un coup d’œil où on se trouve (en Italie). Il se délecte de repérer le laurier qui a fait des pousses partout dans l’image, des figuiers qui émergent ou le détail qui tue: la barrière en saule qui, au contacte de la terre, refleurit et évoque une forme de renaissance (l’action de ressurecter, pas les artistes qui inventent la perspective monofocale centralisée). C’est aussi l’occasion de voir l’œil de Bellini qui parfois en quelques coups de pinceau trace sur la toile ce que Jean-Pierre identifie en un clin d’œil comme une Félicie qui pousse près des sandales du saint. Van Eyck a la même puissance, ce que je vois comme quelques coups de pinceaux difficilement identifiables, Jean-Pierre y voit sans douter une plante précise. Et il y en a des fleurs qui se baladent, parfois en peu d’exemplaires dans les toiles: nénuphar, noix, œillet (Dianthus), oignon olivier (Olea europaea L), orange, oranger (Citrus sinensis (L.), orge, orme (Ulmus), ornithogale (Ornithogalum), ortie (Urtica), osier, paille, palme, palmier (Arecaceae), Panicaut maritime (Eryngium maritimum), pâquerette (Bellis perennis), pastèque, paturin (Poa trivialis), pêche, Pensée (Viola tricolor), persil (Petroselinum crispum), pervenche (Vinca L.), pétale de rose, peuplier (Populus), pimprenelle (Sanguisorba), pin, pissenlit (Taraxacum), pivoine (Paeonia), plantain (Plantago), plante fantastique, plante grimpante, poire, pomme, pommier (Malus), primevière (Primula), prune, pulmonaire (Boraginaceae), racine, radis, raisin, rameau, rameau d’olivier, renoncule (Ranunculus bulbosus), renouée persicaire (Persicaria maculosa), renouée bistorte (Bistorta officinalis), romarin (Salvia rosmarinus), ronce (Rubus fruticosus), rose (Rosaceae)
Autant de pistes à aller explorer de votre côté, d’hypothèses à faire émerger, de jardin clos à détailler. De mon côté je navigue souvent avec le livre de Josy Marty-Dufaut, Merveilleuses plantes médiévales, il éclaire assez bien les fantasmes et la pharmacopée qui accompagnent les plantes dans les textes. On y a apprend entre autres choses que si la pivoine était déjà présente en Europe (mais pas la lactiflora que Marco Polo décrira de ses voyages et qui débarque en Europe en 1548), chez Théophraste on peut lire que "Cette plante doit-être arrachée la nuit, si de jour on est vu par un pic-vert en train de cueillir le fruit, on risque de perdre les yeux et si on coupe la racine, on risque la procidence de l'anus" (je laisse au plus curieux la joie de découvrir le sens du mot procidence). Ou que d’après Albert le Grand, la verveine peut prédire la mort d’une personne malade, séduire l'être aimé (#consentement), créer l'illusion d'une pièce remplie de serpents ou même, si on la mélange à du vin qu’on asperge dans une pièce, assurer un repas joyeux pour tous les convives (prenez garde à ne pas mélanger les deux dernières options cependant).
Et c’est vrai que souvent, l’angle du soin semble assez fécond du côté des plantes. Je ne m’étalerai pas sur le splendide Antoine malmené par les démons de Grünewald qui déploie au sol une pharmacopée intégrale (14 plantes médicinales) pour lutter contre le feu de saint Antoine (ou Ergotisme, causé par des champignons dans le seigle pouvant mener à des trips proches du LSD, + sensation d’intense brûlure, hein, attention les petits chimistes). Est-ce ainsi qu’il faut lire la Mauve (Malva), anti-inflammatoire, présente dans le premier volet de la Justice d’Othon ? Dans le second volet, la femme d’un homme exécuté à tort tient à pleine main un tison ardent pour prouver son innocence. Ou cette palanquée de fleur toxique (muguet, ancolie, coquelicot et peut-être un bouton d'or) au pied du diable en jaune de Michael Pacher ?
Il y a encore bien des hypothèses sur nos plantes. Sur La place que tiendrait leurs couleurs, au nombre de fleurs ou de pétales ou sur La théorie des signatures, similia similibus curantur « les semblables soignent les semblables » nous disait Paracelse: les formes des plantes témoigneraient de leurs effets (la pulmonaire aux feuilles en forme de poumon les soignerait) qui pourrait expliquer certaines associations (les chardons rappelant la couronne d’épines au hasard, ou les trèfles associés à la trinité où même les ancolies en forme de serres d’aigles proche de saint Jean). Les jeux de mots peuvent être liés à des noms vernaculaires: le liseron c’est aussi la manchette de la Vierge, le pisse-en-lit est diurétique sans oublier le capuchon de moine (Arisarum vulgare) et tiens si on mettait des véroniques à côté de Véronique ? (Sur ce dernier cas on notera que dans la Véronique pourtant fleurie de Robert Campin, il n’y a pas de Véronique :^/).
Si un jour j’avance sur la possibilité de recherche avancée, on pourra aussi observer si certaines plantes, en peinture, ont des origines géographiques récurrentes, si on peint plus de renouée bistorte au nord ou au sud. On pourra aussi identifier les peintres qui monopolisent une plante à l’image des cyclamen quasiment tous peints par Bernardino Luini.
On pourra aussi en savoir plus sur la présence de rose, rose trémière (Alcea rosea), roseaux (poacées), rosier, ruine de rome (Cymbalaria muralis), sapin, sauge (Salvia), saule (Salix), Saxifrage (Saxifraga), scalieuse (Scabiosa), Sceau-de-Salomon (Polygonatum), scrapulaire (Scutelleria), séneçon (Senecio vulgaris), Silene (Silene), souche, souci (Calendula officinalis), thym (Thymus), trèfle (Trifolium), tronc, véronique (Veronica persica), verveine (Verbenaceae), vigne (Vitis), violette (Viola).
Cette liste (big Up Rabelais), elle vient d’un projet de classement de toutes mes 1840 étiquettes en catégories (Nature, Faune, Attitude, etc.). Je travaille à transformer ça en affiche avec l’ami Benjamin Dumond et je peux déjà jouer à imprimer cette liste avec ma machine à ticket de caisse. Peut-être que bientôt cette affiche qui permet de mieux découvrir l’étendue des détails de la musée, je la vendrai pour financer cette fameuse recherche avancée que j’évoque plus haut. A suivre.
A suivre aussi les résultats d’un belle invitation, celle du DSAA de la Martinière où David Villepoix m’a reçu pour cinq jours d’atelier autour de la musée. On a travaillé avec nos vingt et un étudiants sur un curieux livre, un faux Rabelais de 1565 (Rabelais étant mort en 1553): les 120 monstres de Les Songes drolatiques de Pantagruel, je vous en parlerai peut-être dans la prochaine infolettre. Cela a donné plein de belles choses, et bien renseignées avec ça puisque Pierre-Olivier Dittmar m’a fait le plaisir de passer éclairer la lanterne tous ces designers sur les tenants et les aboutissants des monstres de la Renaissance (qui n’existe pas [La Renaissance, pas les monstres]).
Pour en revenir à notre iris au départ (souvenez-vous!), l’idée de la plante comme message et même notre fameuse théorie des signatures, elle porte aussi ses fruits en littérature. Ainsi Aragon dans les yeux d’Elsa nous parle de la Vierge et tisse tous ces signifiants en y ajoutant le sien:
Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée
Sept glaives ont percé le prisme des couleurs
Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs
L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé
Alors si vous avez des pistes, des intuitions sur les plantes, n’hésitez pas à vous plonger dans toutes mes listes ou à en faire ce que vous voulez.
Enfin un grand merci à Jean-Pierre Grienay, qui continue de m’accompagner avec mes tas d’images dans la découverte de ces plantes que je connais mieux en peinture qu’en vrai, mais qu’il m’a aussi appris à observer. Regarder la base, compter les pétales, observer le territoire; autant de réflexes bienvenus qui me rappellent cette invitation, je crois qu’elle est de Jean-Baptiste Morizot (pas celui à la molène; lumineux néanmoins): quand vous voyez un être vivant, essayez de vous poser dix questions dessus. Pas nécessairement d’y répondre, simplement de commencer à l’interroger.
Profitons donc du printemps et des saxifrages bien entourés, je vous dis à bientôt pour la prochaine infolettre, on y parlera certainement d’un objet interespèce qui me fascine et que j’aurai aimé partager avec Nicolas Nova.
Je profiterai aussi désormais de cette newsletter, à la demande de Pierre-Olivier Dittmar, pour relayer les nouvelles livraisons sur le riche Artifex In Opere. Pour les plus férus ce mois-ci, ça parle donc de dalles perméables.
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout, merci à Fabienne Gallaire et Sylvie Granotier pour la rececture et pardon les médiévistes je suis juste jaloux vous savez, à bientôt,
:^*